mercredi 25 juin 2008
Le trésor perdu de Sacha
Aujourd’hui 24 juin, Sacha nous a envoyé un message. Il a un trésor pour nous mais il a perdu la clé. Pour la retrouver, on a dû chercher au centre de Bruxelles des personnes avec une punaise dans la semelle de leur chaussure. Il fallait réussir leurs épreuves: 15 passes avec une balle, une course-relais sur les escaliers devant la cathédrale, un quizz chez Manneken-Pis, un message codé sur la grand-place et des épreuves chez monsieur Aurélien.Quand un épreuve était réussie, on gagnait une clé. Quand on a eu toutes les clés, on est parti au parc. C’était chouette le parc!De retour à l’école, nous avons ouvert le trésor. Dans le coffre au trésor, il y avait une nouvelle lettre de Sacha. Il nous disait de chercher dans la ludothèque le vrai trésor. Enfin, nous avons trouvé de belles photos.Merci et bisous Sacha et merci à nos institutrices pour cette belle journée.
mardi 24 juin 2008
Concours de Fresque de l'UFAPEC
Dimanche 22 juin 13h00, je roule, un peu vite, sur l'autoroute de Liège. J'ai du retard. Madame le Directrice, quelques collègues, une maman et son enfant m'attendent peut-être déjà à Blégny. C'est là qu'a lieu la remise des prix du concours de fresque organisé par l'UFAPEC. Sortie numéro 36, direction Blégny et sa mine. Plus que quelques kilomètres de route de campagne. Les drapeaux de l'entrée de la mine apparaissent au loin. Mais où est l'entrée? Trop tard, je viens de la dépasser. Un petit demi tour plus loin et j’arrive à destination. Il y a beaucoup de voitures sur le parking. Ce doit déjà être commencé. Je me dirige vers l’entrée, guidé par le fléchage indiquant « UFAPEC ». « Eric, ouh ouh… » Ce sont madame Geneviève L, madame Catherine et madame Geneviève D qui me font signe. Elles sont déjà là et patientent en dînant au soleil sur un des bancs du parc. Albiona et sa maman dégustent un énorme sandwich à la terrasse de la cafétéria. C’est maintenant au tour de madame Haerten d’arriver. Nous sommes au complet.
Une signature, un petit badge nous identifiant et nous prenons place dans la grande salle face à l’écran qui sans doute servira à présenter les différents projets. Après un bref discours du représentant de l’UFAPEC, commence la présentation des différentes réalisations. L’une après l’autre les fresques des écoles défilent sur l’écran, mais pas encore la nôtre. On compte dans la tête, 13, il ne reste plus que deux écoles. Pas encore Champagnat. Ah ! C’est notre tour. Nous passons dernier dans la présentation. Mais bon, ce n’est que la présentation pas le résultat du concours.
« Le prix de « la collaboration école-famille » est décerné à l’école St Marguerite de Bouge. Tout le public applaudit. Le prix « le plus courtois » décerné à l’Institut St Begge d’Andenne et l’Ecole St Joseph de Liège ». Toujours pas de prix pour notre école. Mes mains deviennent moites, le stress augmente. Je me dis « Tout ce travail, c’est si beau, j’espère…. » Mais je n’ose pas le dire, superstition… « Le coup de cœur va à l’école St François d’Auvelais centre. » Toujours rien. Et nous… « Et maintenant le prix du Jury va à l’Institut Champagnat » Un tonnerre d’applaudissements nous accompagne. Nous nous levons et remercions l’assemblée. Des frissons traversent mon dos. Un large sourire apparaît sur le visage de chacun d’entre nous. Nous devons sûrement être tous un peu rouge.
Les gagnants sont invités à venir chercher les cadeaux qui récompensent ce travail. Livres, albums, jeux de société, visites de musée et animations scientifiques remplissent une grosse boîte que j’ai peine à porter, tellement il y a de belles choses.
Après un jus de fruit offert pour l’occasion, nous nous équipons d’un bleu de travail et d’un superbe casque jaune.
Nous voici fin prêts pour descendre dans les entrailles de la terre à la découverte d’un des métiers les plus difficiles au monde : mineur.
La visite fut très intéressante, l’ensemble de la journée riche en émotions. Nous empruntons pour la deuxième fois cette obscure cage qui nous remonte à la surface.
Il nous reste à ranger nos équipements de touristes à la mine et à nous dire au revoir. C’est comme à la fin de toute chose que l’on a aimée. On est content d’avoir réussi, d’être arrivé au bout, mais on voudrait que cela ne finisse jamais.
Je reprends ma voiture en direction Bruxelles. A peine le temps de se souvenir que déjà d’autres envies naissent, d’autres projets, d’autres aventures que je suis impatient de partager avec vous.
Une signature, un petit badge nous identifiant et nous prenons place dans la grande salle face à l’écran qui sans doute servira à présenter les différents projets. Après un bref discours du représentant de l’UFAPEC, commence la présentation des différentes réalisations. L’une après l’autre les fresques des écoles défilent sur l’écran, mais pas encore la nôtre. On compte dans la tête, 13, il ne reste plus que deux écoles. Pas encore Champagnat. Ah ! C’est notre tour. Nous passons dernier dans la présentation. Mais bon, ce n’est que la présentation pas le résultat du concours.
« Le prix de « la collaboration école-famille » est décerné à l’école St Marguerite de Bouge. Tout le public applaudit. Le prix « le plus courtois » décerné à l’Institut St Begge d’Andenne et l’Ecole St Joseph de Liège ». Toujours pas de prix pour notre école. Mes mains deviennent moites, le stress augmente. Je me dis « Tout ce travail, c’est si beau, j’espère…. » Mais je n’ose pas le dire, superstition… « Le coup de cœur va à l’école St François d’Auvelais centre. » Toujours rien. Et nous… « Et maintenant le prix du Jury va à l’Institut Champagnat » Un tonnerre d’applaudissements nous accompagne. Nous nous levons et remercions l’assemblée. Des frissons traversent mon dos. Un large sourire apparaît sur le visage de chacun d’entre nous. Nous devons sûrement être tous un peu rouge.
Les gagnants sont invités à venir chercher les cadeaux qui récompensent ce travail. Livres, albums, jeux de société, visites de musée et animations scientifiques remplissent une grosse boîte que j’ai peine à porter, tellement il y a de belles choses.
Après un jus de fruit offert pour l’occasion, nous nous équipons d’un bleu de travail et d’un superbe casque jaune.
Nous voici fin prêts pour descendre dans les entrailles de la terre à la découverte d’un des métiers les plus difficiles au monde : mineur.
La visite fut très intéressante, l’ensemble de la journée riche en émotions. Nous empruntons pour la deuxième fois cette obscure cage qui nous remonte à la surface.
Il nous reste à ranger nos équipements de touristes à la mine et à nous dire au revoir. C’est comme à la fin de toute chose que l’on a aimée. On est content d’avoir réussi, d’être arrivé au bout, mais on voudrait que cela ne finisse jamais.
Je reprends ma voiture en direction Bruxelles. A peine le temps de se souvenir que déjà d’autres envies naissent, d’autres projets, d’autres aventures que je suis impatient de partager avec vous.
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